Résumé : Résumé : Quand la Seconde Guerre mondiale a éclaté, Desmond, un jeune Américain, s'est retrouvé confronté à un dilemme : comme n'importe lequel de ses compatriotes, il voulait servir son pays, mais la violence était incompatible avec ses croyances et ses principes moraux. Il s'opposait ne serait-ce qu'à tenir une arme et refusait d'autant plus de tuer. Il s'engagea tout de même dans l'infanterie comme médecin. Son refus d'infléchir ses convictions lui valut d'être rudement mené par ses camarades et sa hiérarchie, mais c'est armé de sa seule foi qu'il est entré dans l'enfer de la guerre pour en devenir l'un des plus grands héros. Lors de la bataille d'Okinawa sur l'imprenable falaise de Maeda, il a réussi à sauver des dizaines de vies seul sous le feu de l'ennemi, ramenant en sureté, du champ de bataille, un à un les soldats blessés. Bonus : Making of.
Notes : Prêt consultation
Langue(s) parlée(s) : français, anglais, audiovision en français
Sous-titre(s) : français, français pour sourds et malentendants
Format(s) Vidéo(s) : 16/9, 2:35
Format(s) audio(s) : stéréo (2.0), Dolby Digital 5.1
Interdit aux moins de 12 ans
S'il s'interroge intelligemment sur le bien et le mal, le réalisateur de La Passion du Christ ne peut s'empêcher, sur la fin, d'en rajouter dans une bondieuserie naïve. - Studio Ciné-Live - L.D. -
En portant à l'écran l'histoire de Desmond Doss, héros pacifiste de la bataille d'Okinawa, Mel Gibson mêle spectacle de la violence et message religieux. - Le Monde - Thomas Sotinel - 09/11/2016
Les maladresses ne manquent pas. Mais l'énergie et la passion déployées concourent à donner à ce double inversé d'American Sniper un certain souffle lyrique. - Télérama - Jacques Morice - 09/11/2016
Grand mélo illuminé sur le désir de servir et l'héritage paternel, Tu ne tueras point est aussi - surtout - un très grand film de guerre d'une violence hallucinante. Mad Mel est de retour et ça fait très, très mal. Bon sang, ce qu'il nous avait manqué. - Première - Sylvestre Picard -
Filmeur à l'ancienne, privilégiant un découpage lisible, des effets optiques et une action hyperréaliste, il retrouve par éclats la puissance de feu de son cinéma au classicisme racé, sous haute influence John Milius. - Les Inrocks - Romain Blondeau - 09/11/2016