Résumé : Vincent Van Gogh ne vendit qu’une seule oeuvre de son vivant… Un peu moins d’un siècle plus tard, le tableau les Iris est vendu aux enchères pour l’incroyable somme de 53 900 000 dollars ! Enfant étrange, têtu au point de devenir violent, solitaire et farouche, Vincent déstabilise ses parents et son entourage. Très vite, il dessine et se passionne pour l’art mais, mystique, ce fils de pasteur cherche sa vocation et passe un temps à évangéliser les miséreux. Pour autant, il n’abandonne pas le dessin et grâce à son jeune frère Théo, son double avec lequel il aura une correspondance quasi quotidienne, il prend des cours et peint ses premières toiles. Rebelle, ce barbouilleur colérique ne cesse de créer, d’innover. Pour lui peindre est une urgence, une nécessité absolue et quand il entre dans sa trente-deuxième année, il a déjà réalisé 240 dessins et 180 peintures. De Anvers à Paris, puis à Arles, dans ce midi où il y a plus de couleur, plus de soleil, il est pauvre mais heureux. Mais la folie le guette. Le 27 juillet 1890, il se tire une balle en plein coeur. Deux jours plus tard, ce génie incompris meurt, laissant derrière lui une oeuvre majeure